2017-05-20 05:50:20

Elections législatives – La CAPEB Charente se mobilise !

Les prochaines élections législatives approchent. Ce rendez-vous politique est une opportunité pour la CAPEB de rappeler le poids économique et social de l’artisanat du bâtiment et de faire connaitre ses attentes et ses revendications.

En vue de ces élections, la CAPEB Charente sollicite les différents candidats sur les principales mesures à mettre en ouvre durant les 100 premiers jours de la nouvelle mandature.
Dans la perspective de ces élections et pour soutenir ces actions, la CAPEB a édité un « Agenda des priorités » qui pointe cinquante propositions d’actions nécessaires à la reprise pérenne de l’artisanat du Bâtiment : une véritable feuille de routes pour les différents candidats.
Outre les propositions, cet « Agenda des priorités » détaille les chantiers prioritaires à mettre en œuvre. Les dix domaines d’intervention préconisés sont :
• Soutenir entrepreneuriat et l’emploi
• Organiser une concurrence saine et loyale
• Alléger le coût du travail
• Réformer les systèmes sociaux
• Simplifier le code du travail
• Débloquer le financement des TPE
• Concourir à la qualité des logements
• Favoriser la visibilité des TPE
• Soutenir la formation au sein de la branche
• Développer la transmission au sein de la branche
Fer de lance de l’économie et pourvoyeur d’emploi, les entreprises artisanales du Bâtiment connaissent un regain d’activité et des perspectives favorables pour 2017.
2016 aura été une année charnière qui met fin à quatre années de recul de l’activité et ce redémarrage doit, à présent, être conforté car il reste fragile dans un contexte d’incertitude économique et électorale. La CAPEB attend alors du prochain Gouvernement qu’il prenne la pleine mesure de ce virage à ne pas manquer.
« L’équipe au pouvoir devra maintenir ce qui fonctionne : la TVA à 5,5 pour les travaux d’amélioration de performance énergétique, le CITE, le PTZ+. Poursuivre ce qui est bien engagé et même veiller à accélérer les choses : notamment concernant la révision de la directive sur le travail détaché. Enfin elle devra s’attaquer à ce qui ne va pas et qui entrave l’activité des entreprises : la réforme profonde du compte pénibilité, la suppression du prélèvement à la source et un retour à la défiscalisation des heures supplémentaires. »